Exposition Poupées Russes – 29 novembre 2014

Emboîtées ? Cachées les unes dans les autres ? Finalement, les voilà qui se dévoilent. Elles sont côte à côte, fières ou coquines, drôles ou sérieuses, magiques ou mystérieuses. Elles se regardent, se jalousent peut être, se défient sûrement.

AKIZA trouve encore le moyen de nous surprendre en réunissant 37 artistes au même endroit. L’exercice est vraiment très intéressant : identique et différente, de taille et de corps variable, unique parfois, chaque artiste a su jouer avec le thème des poupées russes. Pour ma part, je me suis amusé à regarder différents ces petits êtres, à les rendre gigantesque, de la tête au pied.

Merci beaucoup pour avoir apporté à notre samedi cette touche artistique !!! Vous avez jusqu’au 4 janvier 2015 pour aller voir cette sublime exposition. Si vous voulez en découvrir plus, de la même galerie : Mysterious touch, Le vent nous portera, Summertime, Insectes et Arachnides, Baubô.

Exposition PERFusion et dédicace de Toctoc – 29 novembre 2014

Samedi ensoleillé : l’occasion rêvée d’emmener mes amies voir ce qui se passe à la Galerie Ligne 13. Deux en un : l’exposition PERFusion et la dédicace du livre Salut l’artiste de Toctoc.

On retrouve dans la galerie les performances effectuées lors du Salon Art Shopping, certaines ont été retravaillées. Au programme : Anis, Snez, Mosko & Associés, EZP, Nice Art, Stoul, Suriani, No Rules Corp, La WCA, Codex Urbanus, Gregos. De quoi satisfaire nos yeux !!!

Toctoc est arrivé à l’heure. Son sac contenait ses livres. Cela m’a fait bien plaisir de le revoir. C’est le dernier artiste que j’ai interviewé. Vous pouvez retrouver d’ailleurs son interview en cliquant ici. L’idée du livre est génial : mettre ses Duduss dans des tableaux de Maîtres. Le monsieur est doué, mes amies n’hésitent pas un instant à acheter un livre. J’espère sincèrement pouvoir le suivre dans une de ses prochaines virées nocturnes pour vous faire découvrir une création de A à Z.

Metro, boulot, expos !!! – 8 novembre 2014

Samedi 8 novembre. Le soleil est au rendez-vous. La température continue sa descente progressive. Malgré tout,  cela donne envie de se mettre en mouvement.

Je dois d’abord passer sur Nanterre pour le travail. L’idée est de faire des relations publiques, d’aller à la rencontres des associations du quartier Berthelot. J’espère que cela sera porté ses fruits.

Pour profiter de cet aller retour via Paris, je me suis organisé une balade, passant par trois galeries. Pour le plaisir des yeux !! J’ai choisi d’avoir un jour de décalage par rapport au vernissage, histoire de pas subir la foule. J’ai mon appareil photo. J’espère ne pas faire flamber la CB, même si certaines oeuvres ou sérigraphies me tentent bien, même si certains livres également.

Au programme : Stew à la gallerie Nunc, Rubbish à Mathgoth et une exposition collective au LavoMatik.

Exposition New Romantic – 8 novembre 2014

Il doit en falloir de la patience, de la dextérité pour arriver à autant de précision, de finesse, de beauté. J’ai été stupéfait de voir le papier tel de la dentelle, le découpage qui dessinent des visages, des mains, des fleurs. J’ai adoré l’utilisation des Moleskines, carnet  dont je ne peux me séparer (j’en ai toujours un avec moi). La couleur utilisée par petite touche sur certaines oeuvres donne de la profondeur, fait ressortir des détails, donne un supplément d’âme.

Je vous invite vivement à aller y faire un tour et observer de près ou de loin les oeuvres d’Aurel RubbishMathgoth accueille encore une fois un artiste d’exception jusqu’au 26 novembre 2014. Pour le coup, il y a énormément de choses qui m’attirent dans ce travail et pour lesquelles j’aimerais prendre le temps avec l’artiste, lors d’une interview ou d’un reportage… Qui sait, cela se fera peut être bientôt.

Exposition Ardoises – 7 novembre 2014

Avant de rentrer chez moi, j’avais envie de me dégourdir les yeux. Direction le Cabinet d’amateur. A l’extérieur déjà, les oeuvres de Philippes Hérard m’accueillent. Suspendus, en flottaison, en haut des échelles. Il faut maintenant pousser la porte de la galerie pour voir « Ardoises ».

Il y a énormément de poésie dans ces oeuvres. Le support utilisé, à savoir des ardoises, rend également grâce à la créativité de l’artiste. Cela crée des aspérités, du volume, une vie à part. L’artiste joue également avec les deux faces des ardoises. Les scènes changent, subtilement. J’ai eu la chance d’avoir une démonstration de la part de l’artiste lui même pour l’oeuvre la plus grande .

Une belle rencontre, en simplicité. J’ai eu un coup de coeur pour l’un des oeuvres accrochés dans l’air. Vous avez jusqu’au 21 novembre 2014 pour voir cette exposition.

Exposition Mysterious touch – 4 novembre 2014

Cela fait deux jours que je suis passé rue Tholozé. Ce soir j’avais le choix entre courir dans de nombreux vernissages de Street art ou rentrer chez moi et profiter de ma fin de journée pour vous dire qu’il y a une exposition jusqu’au 22 novembre à ne pas rater. J’irai faire un tour demain ou samedi dans ces autres galeries pour voir. Franchement, je prends l’option moins de monde et plus de temps pour profiter. Et puis c’est d’un duo de choc dont je vais vous parler, un couple que j’apprécie énormément, une galerie qui ne cesse de me surprendre.

Akiza la galerie sait être le lieu de la rencontre. Ils le prouvent encore une fois en proposant une exposition solo de Yoko d’Holbachie. L’univers est fantastique, coloré, le travail de l’artiste est remplie de détails, de points, traits, d’arrières plans vaporeux et oniriques.

Les deux couleurs d’Akiza font face à une multitude de couleurs de Yoko d’Holbachie. Un écho se joue pourtant au niveau des personnages, déclinés pour chaque artiste presque à l’identique. La bouche, les yeux, les coiffes, les corps différents, mais presque symétriques. L’aspect est enfantin et inquiétant à la fois, unique et multiple. J’avais autant l’envie de pouvoir serrer dans ses bras ces êtres ravissants et l’impression qu’ils préparaient un sale coup.

Prenez le temps d’aller dans cette galerie, d’observer chaque oeuvre, de vous évader dans cet ailleurs magique. Vous pouvez également lire l’interview d’Akiza et revoir les expositions précédentes Le vent nous portera, Summertime, Insectes et Arachnides.

Exposition Libertés, égalités, fraternités – 4 octobre 2014

C215 est exposé dans une galerie parisienne jusqu’au 8 novembre, encore quelques jours pour en profiter. Il faut se rendre dans le 1er arrondissement, au 356 rue St Honoré, dans l’Opera Gallery, sonnez à la porte puis attendez que l’on vous ouvre et prendre les escaliers. En avant pour Libertés, égalités, fraternités.

Au premier, il y a de quoi se faire plaisir aux mirettes. Le travail du pochoiriste est encore une fois étonnant tant sur les couleurs que sur le choix des supports (toile, planche de bois, fenêtre, carte d’école). Plusieurs personnages me rappellent des œuvres vues sur des murs à Vitry-sur-Seine ou vers la Bibliothèque François Mitterrand. Il faut oser monter au deuxième étage pour voir un valise revisitée par l’artiste et des œuvres de Niki de Saint Phalles, Calder entre autres.

3 expositions en 1 balade – 18 octobre 2014

3 en 1, cela fait télé shopping. Sauf que pour le coup, je n’ai rien à vous vendre et je n’ai aucun intérêt en nature pour chaque personne passée dans ces 3 lieux. Juste le plaisir de vous faire découvrir 3 galeries de Street art que j’apprécie tant par la qualité des artistes proposés, de l’approche complètement différentes de les mettre en avant, que par les espaces dévolus pour l’exposition.

3 en 1 effectivement car elles sont à 500 mètres l’une de l’autre. Et tout cela facilement accessible : vous pouvez soit sortir à Bibliothèque François Mitterrand, faire un tour par les Frigos, aller d’abord à la galerie Itinerrance,  chasser ensuite quelques Gouzous avant d’entrer dans la galerie Mathgoth puis passer à côté du tram pour finir au Lavo Matik, soit sortir à Avenue de France et le faire dans le sens inverse.

3 en 1 qui m’a permis de profiter pleinement du soleil de ce samedi après midi. Voilà en détails les galeries et les artistes exposés, profitez bien de cette offre culturelle !

Portes ouvertes Albatros – 18 octobre 2014

Montreuil est une ville qui vibre et qui vit. Il y a de quoi faire, voir et profiter. Le week-enk passé, un lieu emblématique ouvrait ses portes et laissait entrevoir les univers imbriqués et scénographiés de plusieurs artistes. De la sculpture au Street art, du chaos de la ville au monticule de feuilles d’automne, l’Albatros donnait son espace à envahir. Chaque coin était occupé. Des mannequins flottaient dans les airs, attachés par des cordes, de la broderie dans la salle du haut, du pochoir à côté, puis loin de la photographie. Ces anciens studios de cinéma permettaient de jouer sur les tailles, la hauteur, le volume, de recréer des espaces confinés, de jouer entre la juxtaposition et la complémentarité. Au programme : MG La Bomba, Artof Popof, Mosko et associés, Mr Pee, Lise DUHAY, Zemask, Monsieur chat, Vinie, Jérôme Mesnager, Bault, FKDL, Kashink.

Une fois par an donc, un lieu à découvrir, à explorer. Enfin il faut y revenir à d’autres moments et également pour son mur extérieur recouvert par des bombes de peinture. Connu également pour ces activités culturelles, j’y étais venu à plusieurs reprises pour mes amies Les Akouphènes. Elles avaient participé à un concours et avec Rhythm and Town à un concert filmé. D’ailleurs, pour les amateurs de très bonne musique, elles se produisent pour une soirée exceptionnelle le 29 novembre 2014 aux Trois Baudets.

De Nunc au Lavo Matik – 4 octobre 2014

Samedi dernier, il y avait plein de choses à faire. Cela a commencé par un déjeuner en famille avec mon grand-père. Il était de passage sur Paris. Il part dimanche 5 pour l’île de la Réunion voir mes parents et il passera également à Mayotte voir mon oncle, ma tante, mon cousin et sa p’tite famille. A chacune de ses venues, nous profitons de lui et l’emmenons à la découverte de la capitale. Nous sommes allés manger dans un restaurant japonais, rue Saint Anne dans le 1er arrondissement. Un régal !!

Nous profitons du soleil pour faire un tour dans le jardin des tuileries. Puis nous prenons le bus en direction de Nunc. J’ai réussi à convaincre mes amis de découvrir deux expositions. Le 17 septembre, c’était De Mathgoth au Lavo Matik;  ce 4 octobre il y a du changement.

Exposition Le vent nous portera – 20 septembre 2014

Il faut sortir Métro Blanche, ligne 2. Remonter rue Lepic, tourner à droite et tout de suite à gauche, rue Tholozé. Quelques pas encore et vous arrivez à l’exposition Le vent nous portera à AKIZA la Galerie.

Faire une exposition collective, thématique, peut être un exercice plus que périlleux. Choisir des oeuvres parmi celles déjà créées par certains artistes, passer une « commande » pour des oeuvres inédites, voilà également qui n’est pas chose facile. Mais pour AKIZA, c’est là où ils excellent. Réunir des artistes d’influences diverses, de techniques si différentes rend compte de la force de cette galerie.

On passe du Street art à l’art sombre, du travail photographique à celui au fusain, de dessin vaporeux, onirique sur fond blanc à des câbles, lampadaires dans un bateau noir. Au programme : AdeyAkizaAngel RoyCodex UrbanusDocteur BergmanDom GarciaEmika, Frédéric FontenoyHadrien Durand-BaïssasIemzaJean-François B.Le petit monde tentaculesque d’Emilie, Michaël BrackRichard LaillierVavje.

L’ensemble est cohérent, les hôtes sont toujours aussi accueillants et attentifs. A la question de Robinson « si tu pouvais partir en courant avec une œuvre de l’exposition en bousculant tout le monde pour t’enfuir, ce serait laquelle ? », j’ai une réponse. Ce serait une de Iemza. Et s’il fallait voter parmi les galeries et leur exposition de rentrée, AKIZA sans hésiter !!! Pour les curieux vous pouvez lire l’interview d’AKIZA.

De Mathgoth au Lavo Matik – 17 septembre 2014

Finir sa journée par deux expositions de Street Art, cela fait du bien. Surtout qu’elles ne sont pas loin l’une de l’autre et que le soleil était avec moi. Direction donc Bibliothèque François Mitterand.

Première étape : Mathgoth, 34 rue Hélène Brion dans le XIIIème. La galerie propose l’expo « Souvenirs de vacances » de FENX jusqu’au 4 octobre 2014. Il est question de traces, de visages qui laissent place à des mots. Les couleurs sont belles, le travail de matière très intéressant. On se rappelle alors ce que nous avons fait durant l’été, le bord de la piscine, la séance de bronzage, ce baiser échangé, ce moment qui s’inscrit à jamais dans la mémoire.

Deuxième étape : Lavo Matik,  20 boulevard du Général Jean Simon dans le XIIIème. Ici, c’est Nice art qui a envahi l’espace. Le lieu donne de la hauteur aux oeuvres. Mi galerie, mi librairie, il y a de quoi se faire plaisir. Nice art propose un travail de pochoiriste de qualité sur de multiples supports : bois, toiles, panneaux de signalisation. Pour moi, c’était également l’occasion d’acheter deux livres pour compléter ma collection.

Exposition Dalí fait le mur – 10 septembre 2014

J’ai entendu pour la première fois parler de cette exposition par AKIZA. Le soir de son interview, il venait de finir la toile après une petite nuit. Elle séchait dans la cour. C’était avant l’été. Depuis il y a eu l’exposition Summertime dans leur galerie et la sortie de l’interview d’AKIZA.

Après une semaine de vacances j’ai repris le travail. Début septembre, AKIZA me fait un message me demandant si j’ai des informations sur l’exposition Dalí fait le mur et si ça me dirait d’être présent au vernissage. Ils oeuvrent auprès de la commissaire d’exposition Véronique Mesnager. Quelques jours plus tard, un message via Facebook. Elle me demande si je peux lui envoyer mon email pour qu’elle passe l’adresse à l’agence de com qui s’occupe de l’événement. J’ai une accréditation presse. Je pose quelques questions, novice que je suis en la matière et surtout car pour participer à l’événement il faut que je pose ma 1/2 journée.

Tout est ok. L’invitation, le dossier de presse, l’appareil photo. Je retrouve AKIZA dans leur galerie. L’occasion d’acheter deux t-shirts dont celui en lien avec l’œuvre réalisée pour Dalí fait le mur. Yoshii et Robinson ont encore à faire. Nous décidons de nous retrouver au musée directement. Devant, on installe des plaques blanches en contreplaqué pour les performances qui vont suivre.

Exposition Ce que l’on ne regarde pas vraiment

Une info, comme ça en passant. Mon ami Julien Henrique, qui gère l’annexe du centre d’animation Montgallet, m’a proposé d’accueillir une installation avec mes photos de Street art et des transports en commun. J’ai donc créé l’exposition « Ce que l’on ne regarde pas vraiment ». Vous trouverez en cliquant ci-dessous ma note d’intention et quelques clichés. Vous pouvez également aller à l’Annexe – 10 rue érard, Paris 12ème sur les horaires d’ouverture du centre.

Akiza – Vu de l’extérieur

Lors de l’interview, nous avons parlé des influences ou des atomes crochus entre Akiza et d’autres univers. Des mots, des adjectifs, des notions, des manières de voir le monde étaient là, mettaient tout cela en cohérence, en synergie. Malgré tout, des questions subsistaient. Notamment avoir le retour d’une première fois à voir une Akiza. Il est difficile de savoir si le message dans l’oeuvre passe (d’ailleurs cela peut pour l’artiste avoir ou non une importance). Tout ne peut pas se révéler sans effort, sans envie d’aller au delà, sans rencontre avec l’autre.

Nous nous sommes quittés et je lui au promis d’aller à la rencontre des quidams, de personnes éloignés d’Akiza et d’enquêter sur l’impact, la sensation, le ressenti du premier contact. Voilà ce que vous allez découvrir dans cet article.

Exposition Summertime – 25 juillet 2014

Une nouvelle exposition à AKIZA la galerie, la dernière avant les vacances (bien méritées) de Robinson et YoSHii. Je vous emmène avec plaisir dans le 18ème, au vernissage de Summertime. La dernière fois que je suis venu les voir, c’était pour l’exposition Insectes & Arachnides fin juin un univers étrange, rempli de bestioles en tout genre. Là, j’ai hâte de découvrir ce qu’ils nous ont préparés !

En sortant du travail, j’ai le sourire. Notamment avec ce qui m’attend cette fin de journée. Je prends le RER A puis la ligne 2, pour atteindre le métro Blanche. Cela sent l’été. Soleil, ciel bleu, les terrasses qui sont remplies. Les touristes sont là également. Un parapluie, une fleur ou tout autre objet flottent dans les airs, permettant aux guides d’être repérés. Pour moi pas besoin de m’emmener, je sais très bien où je vais. 3 rue Tholozé. Akiza la galerie me voilà. Je suis en avance. L’oeuvre de Franck Duval à l’extérieur me fait patienter un peu. Le rideau était descendu le temps de mettre en place et de rendre opérationnel le barman.

Je suis encore une fois bien privilégié. Accueilli avec attention. Seul dans ce bel écrin. Au programme Stoul Peintresse en amuse bouche dans la première salle, Yoko d’Holbachie dans le couloir et FKDL, M-City et AKIZA dans la salle du fond. Les univers se répondent vraiment bien entre N&B et couleurs, entre onirique et réel, entre lignes droites et courbes. Les matières sur lesquelles les artistes ont travaillé sont aussi intéressantes : des portes pour Stoul, du carton pour FKDL. Je vous laisse découvrir en image l’exposition et vous invite à y aller avant le 17 août.

PS: Une belle rencontre devant la galerie avec Franck Duval, qui j’espère aboutira sur une interview un de ces jours…

Collective Street Two – 16 juillet 2014

Il fait bon aujourd’hui. Du soleil. Une température estivale (il était temps et on sait déjà que cela ne va pas durer). L’occasion pour moi de flâner un peu après le travail (car oui j’ai retrouvé un emploi) et prendre le temps entre Nation et le Cabinet d’Amateur. J’avais vu sur Facebook qu’un ami, un certain Codex Urbanus, faisait le show dans la galerie. Histoire de le soutenir et de venir voir l’exposition collective de fin de saison, je suis passé 12 rue de la Forge Royale dans le 11ème. Venez jeter un coup d’oeil !!

Exposition Insectes et Arachnides – 30 juin 2014

AKIZA nous surprend encore. Cette galerie, 3 rue Tholozé dans le 18ème, est un vrai trésor. Il faut oser rentrer, oser demander, oser discuter avec Robinson ou Yoshi. Ils ont un sacré talent pour faire le lien entre les artistes qu’ils exposent et les visiteurs.

La galerie se retrouve prise d’assaut par de drôles de bestioles, par des araignées velues, poilues, par des papillons. Il y a tant de détails à observer, des traits fins, des crochets, de pattes, tant d’univers qui dialoguent, qui résonnent les uns avec les autres. J’ai été hypnotisé par la vidéo qui se trouve dans la salle du fond et je l’ai déjà vu une dizaine de fois.

Pour cette exposition Insectes & Arachnides, il y a du beau monde : IEMZA, AKIZA, Frédéric Fontenoy, Codex Urbanus, ZARIEL WORK, Délicate Distorsion, Vavjeniak, Jean Francois B, Michaël Brack, A.M. KonahinsKEF! art, Dimitris Ntokos, Alessandro Bavari, Oleksandra, Benalo, Cédric Magnin. A voir jusqu’au 20 juillet et à découvrir ci dessous !!!

Exposition C215 – 28 juin 2014

L’exposition Douce France de C215, alias Christian Guémy, est actuellement visible à la Galerie Itinerrance à Paris (du 20 juin au 5 juillet 2014) et au Palais Bénédictine à Fécamp (du 14 juin au 28 septembre 2014). On y voit la France que l’on connaît, qui a marqué l’histoire, récente ou ancienne. On y voit des hommes et des femmes, des artistes, des aventuriers, des héros français. Il a fait entrer à l’intérieur de la galerie les objets de la rue avec des boites aux lettres et un panneau d’affichage électoral. Car c’est également sur ce mobilier urbain que C215 œuvre notamment à Vitry-sur-Seine (et dans bien des villes du monde maintenant : Londres, Rome, Barcelone,…).

L’attrait, cette fois, se situe dans le choix du support et la résonance faite avec le sujet. Vous verrez l’histoire de ce pays et ses illustres personnages sur des cartes géographiques, sur une chaussure, sur un billet de banque. La vitalité et la vivacité des couleurs est au service du travail du pochoiriste.

Douce France,
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon cœur ! 

Voilà donc les sujets de son enfance ou de celui de sa fille que C215 nous présentent là. A vous de cliquer pour en découvrir davantage.

1 oeuvre, 1 artiste – Mai 2014

J’avais envie de raconter ma semaine au festival Rue des Arts d’Aulnay-sous-Bois sous un angle particulier. Raconter et montrer, pour mettre en perspective ce qui s’est vécu, pour se rendre compte de l’évolution. Je vous ai déjà livré le meilleur dans 5 galeries de photos (12 mai, 14 mai, 15 mai, 17 mai part 1 et part 2). Là, je veux me focaliser sur une oeuvre et donc un(e) artiste. Et j’ai choisi Vinie. Venez découvrir la suite…

Exposition DiptiQ – 15 mai 2014

Le Gouzou lé la !!! Une galerie a osé laisser le Gouzou prendre le contrôle. Sur la magnifique île de la Réunion, Jace  se joue avec ce personnage de l’information, des espaces publicitaires, de la météo, du lieu. Toujours avec humour, avec autodérision, souvent avec finesse, d’autres fois en mettant le pied dans le plat, le Gouzou se met en scène et nous invite dans un monde coloré et ludique.

Du 16 avril au 28 juin, il est dans ce magnifique écrin qu’est la galerie Mathgoth, à côté de la BNF.  Etant chasseur de Gouzous lorsque je vais à la Réunion, je ne pouvais que venir au vernissage de l’exposition et rencontré « en vrai » Jace. L’exposition intitulée DiptiQ embarque le Gouzou entre deux toiles. Il fuit le danger, il passe par là et reviens par ici, il se métamorphose. Un bon moment de rire et de jeu !!

J’y suis déjà retourné une deuxième fois et je vous invite sincèrement à découvrir cet artiste et également cette galerie. Je prévoit d’y emmener fin juin mes parents, qui habitent depuis quelques années à la Réunion, pour leur montrer que le Gouzou est aussi en Métropole. Au passage, je vous invite à découvrir une performance et vente aux enchères de Street artistes réunionnais en faveur de l’association ALFAH lors du Tempo Festival, le 9 mai 2014, où Jace a participé.

Rue des arts – 16 mai 2014

Voici un événement haut en couleur : Rue des arts. Je voulais vous montrer ce que j’ai vu lors d’un jour de marché, le vendredi 16 mai 2014. Quelques clichés pris à l’intérieur de la galerie commerçante et du haut des escaliers. Il me reste encore la dernière journée du festival à vous faire découvrir pour voir notamment les oeuvres finalisées. J’espère également vous faire un cadeau surprise ainsi qu’aux artistes et aux organisateurs d’ici la fin de semaine. Cliquez sur « read more » et n’hésitez pas à partager cet article !!!

Exposition BauBô – 6 mai 2014

Premier vernissage pour moi à Akiza la Galerie. Un lieu souvent en noir et blanc qui, pour cette exposition, a fait rentrer de la couleur. Akiza est atypique, un lieu surprenant, où les passants entrent par curiosité et ne restent pas indifférent. L’accueil est chaleureux, attentif. Bref, on se sent bien et, pour celles et ceux qui ont besoin de lire entre les lignes, de décrypter certains mystères, n’hésitez pas à poser des questions. Durant le mois de mai, BauBô investit le lieu. Hier j’étais au vernissage. Je vous invite à lire ci-dessous et découvrir ce que j’ai vu.

Dessins

Je m’essaie, je m’amuse. Autant à dessiner, des figures géométriques, de l’abstrait souvent. Autant à partir d’une image et de la remplir de couleur. Comme une amie m’a offert un coffret de feutres, je les utilise. 
Cela me permet de rendre hommage à des artistes que j’apprécie, notamment Les Akouphènes, et à des ami(e)s que j’aime. Les 3 dessins en noir sont retouchés par ordinateur pour inverser le fond puisque les pages étaient blanches.
Je voulais partager avec vous tout cela. Faire un point aujourd’hui et garder une trace de tout ça.


Exposition Seth & Vilcollet – 1er février 2014

J’ai eu la chance le samedi 1er février 2014 de voir à l’Espace Commine, une exposition organisée par la galerie Géraldine Zberro qui mettait en avant le travail de Seth et Vilcollet.

Pour ne pas laisser s’étirer le temps, et passer aux oubliettes l’exposition dont il est question, je publie cet article aujourd’hui. Certains me diront que les dates sont passées, que j’arrive trop tard. D’autres pourraient me taxer d’avoir gardé exprès l’info pour profiter tranquillement du lieu d’exposition.

Mon site n’existait pas encore à l’époque. Mais, dans mon rôle de passeur, je ne peux garder secret les trésors que j’ai vus.

8 mars 2014

Aujourd’hui en ce 8 mars, j’ai défilé avec une amie dans les rues de Paris, de Bastille à Richelieu Drouot. Une manif, c’est le moment pour faire le point sur le sujet, pour récupérer quelques tracts, pour entendre différentes slogan (plus ou moins efficace). C’est aussi l’occasion de lier l’utile à l’agréable en allant à un vernissage à la galerie Le Pari(s) Urbain.

Vernissage L’art dans la rue – Mars 2014

Réagir à l’actualité c’est bien. Etre là où il faut, quand il faut, c’est cool ! Partagez et échangez avec vous ce que j’ai vu, cela me plait énormément.

Mais vous habituez à avoir un article sur le Street Art tous les jours, cela risque de me poser des problèmes. Je pourrais assurer si cela était mon métier… Enfin ceci est un autre sujet. Aujourd’hui ma passion me fait courir à droite et à gauche pour aller à un vernissage, pour assister à une performance, pour voir une exposition, pour obtenir une dédicace.

Ce soir je vous emmène au vernissage de l’exposition L’art dans la rue, organisée par la galerie Ligne 13.

Inside out – Mars 2014

Il faut être patient.

Et dans ce monde où tout va vite, où l’on court pour le profit, pour la gloire, pour l’argent, où l’immédiateté est de rigueur, tout s’inverse avec le projet INSIDE OUT. Prendre le temps. Discuter avec ses voisins de file. Se réjouir du soleil. Faire quelques pas. Sortir son journal. Jouer aux cartes (mince j’ai oublié le jeu de tarot). Appeler ses ami(e)s pour leur dire de venir. Avancer encore. Et surtout être patient.

Vernissage Da Cruz – Mars 2014

Da Cruz expose à partir d’aujourd’hui jusqu’au 15 mars à la Galerie Ligne 13. Deux bonnes raisons donc d’aller dans le 17e pour découvrir ce lieu et cet artiste d’exception. Important pour moi également pour la première semaine de vie de mon site d’être au coeur de l’actualité.

Seth – Le Globepainter

Cela fait plusieurs années que je suis le travail de Seth, quand il part en tant que Globepainter à travers le monde. Depuis l’été dernier, j’ai eu la chance de le voir à l’oeuvre, de le rencontrer, de lui parler.

Je voulais, dans ce premier article, rendre hommage à un grand artiste : Julien Malland alias Seth.