Lors de l’interview, nous avons parlé des influences ou des atomes crochus entre Akiza et d’autres univers. Des mots, des adjectifs, des notions, des manières de voir le monde étaient là, mettaient tout cela en cohérence, en synergie. Malgré tout, des questions subsistaient. Notamment avoir le retour d’une première fois à voir une Akiza. Il est difficile de savoir si le message dans l’oeuvre passe (d’ailleurs cela peut pour l’artiste avoir ou non une importance). Tout ne peut pas se révéler sans effort, sans envie d’aller au delà, sans rencontre avec l’autre.
Nous nous sommes quittés et je lui au promis d’aller à la rencontre des quidams, de personnes éloignés d’Akiza et d’enquêter sur l’impact, la sensation, le ressenti du premier contact. Voilà ce que vous allez découvrir dans cet article.
Poser les bonnes questions, précises mais pas trop prise de tête, faire le tour mais ne pas être trop long. Tout un défi. J’ai été vigilant à ne pas induire de réponse dans la question, de procéder à un cheminement cohérent pour tenter de cerner ce qui existe ou non entre le spectateur et les oeuvres. Le choix de 5 Akiza, sous des formes variées, permettait d’offrir un point de comparaison, d’ouvrir un petit album de ses métamorphoses.
J’ai dû séparer les réponses en deux clans. Celles/ceux qui n’avaient jamais entendu parler d’Akiza (échantillon qui m’intéresse particulièrement) afin d’avoir la réaction première, spontanée, non parasitée par des connaissances (vraies ou fausses) sur Akiza. Et celles/ceux qui connaissaient Akiza, qui ont une affection particulière, un lien ou un regard moins distancié.
Assez parler. J’espère rendre lisible et compréhensif avec cet article le résultat de cette enquête, que cela résonnera pour les participants avec la sortie de l’interview et surtout que cela apportera un regard pour Akiza sur Akiza.
Akiza – Vu de l’extérieur
Étiquettes : Street Art
Lors de l’interview, nous avons parlé des influences ou des atomes crochus entre Akiza et d’autres univers. Des mots, des adjectifs, des notions, des manières de voir le monde étaient là, mettaient tout cela en cohérence, en synergie. Malgré tout, des questions subsistaient. Notamment avoir le retour d’une première fois à voir une Akiza. Il est difficile de savoir si le message dans l’oeuvre passe (d’ailleurs cela peut pour l’artiste avoir ou non une importance). Tout ne peut pas se révéler sans effort, sans envie d’aller au delà, sans rencontre avec l’autre.
Nous nous sommes quittés et je lui au promis d’aller à la rencontre des quidams, de personnes éloignés d’Akiza et d’enquêter sur l’impact, la sensation, le ressenti du premier contact. Voilà ce que vous allez découvrir dans cet article.
Poser les bonnes questions, précises mais pas trop prise de tête, faire le tour mais ne pas être trop long. Tout un défi. J’ai été vigilant à ne pas induire de réponse dans la question, de procéder à un cheminement cohérent pour tenter de cerner ce qui existe ou non entre le spectateur et les oeuvres. Le choix de 5 Akiza, sous des formes variées, permettait d’offrir un point de comparaison, d’ouvrir un petit album de ses métamorphoses.
J’ai dû séparer les réponses en deux clans. Celles/ceux qui n’avaient jamais entendu parler d’Akiza (échantillon qui m’intéresse particulièrement) afin d’avoir la réaction première, spontanée, non parasitée par des connaissances (vraies ou fausses) sur Akiza. Et celles/ceux qui connaissaient Akiza, qui ont une affection particulière, un lien ou un regard moins distancié.
Assez parler. J’espère rendre lisible et compréhensif avec cet article le résultat de cette enquête, que cela résonnera pour les participants avec la sortie de l’interview et surtout que cela apportera un regard pour Akiza sur Akiza.
Pour en voir davantage voici leur site internet Akiza.net et différents articles réalisés lors d’expositions à la galerie : Summertime, Insectes & Arachnides et Baubô.