Premier vernissage pour moi à Akiza la Galerie. Un lieu souvent en noir et blanc qui, pour cette exposition, a fait rentrer de la couleur. Akiza est atypique, un lieu surprenant, où les passants entrent par curiosité et ne restent pas indifférent. L’accueil est chaleureux, attentif. Bref, on se sent bien et, pour celles et ceux qui ont besoin de lire entre les lignes, de décrypter certains mystères, n’hésitez pas à poser des questions. Durant le mois de mai, BauBô investit le lieu. Hier j’étais au vernissage. Je vous invite à lire ci-dessous et découvrir ce que j’ai vu.
J’ai découvert cette artiste à travers sa série de masques. Colorés. Influences multiples. Parfois géométriques, parfois mystiques. De quoi se projeter et imaginer des histoires. Souvent alignés ou disposés en cercle, de taille plus ou moins grande, ces masques m’ont intrigué. Quelque temps plus tard, je vois dans la rue Edouard Lockroy une version revisitée de Pacman face à des Tetris. Je n’avais pas fait le lien entre ces deux concepts. C’est via Facebook que tout s’est connecté. BauBô interroge la société sur la question du féminin et du masculin. Pourquoi y’a-t-il une différence de valeur ?
La question est vaste et complexe. J’ai été sensibilisé par une amie à ce sujet et je continue au quotidien de m’informer, de me former et d’agir. Je conseille d’ailleurs à ce sujet la lecture des 2 tomes de Masculin/Féminin de Françoise Héritier. La valeur différenciée est une construction sociale – et ce qui est construit peut se déconstruire – qui mérite une mobilisation internationale, une détermination individuelle et collective. Il faut changer les pratiques, les mentalités et mettre fin à toute forme de domination.
Revenons à BauBô. 1 mois donc pour voir ses oeuvres, ses masques, ses coussins, ses tableaux brodés, ses dessins. Un regard sensible et percutant, un univers à plat et en relief à voir absolument !!! J’ai eu la chance de mettre la main sur un Tshirt BauBô (et aussi Codex Urbanus). Je suis ravi.
Exposition BauBô – 6 mai 2014
Étiquettes : Akiza, Street Art
Premier vernissage pour moi à Akiza la Galerie. Un lieu souvent en noir et blanc qui, pour cette exposition, a fait rentrer de la couleur. Akiza est atypique, un lieu surprenant, où les passants entrent par curiosité et ne restent pas indifférent. L’accueil est chaleureux, attentif. Bref, on se sent bien et, pour celles et ceux qui ont besoin de lire entre les lignes, de décrypter certains mystères, n’hésitez pas à poser des questions. Durant le mois de mai, BauBô investit le lieu. Hier j’étais au vernissage. Je vous invite à lire ci-dessous et découvrir ce que j’ai vu.
J’ai découvert cette artiste à travers sa série de masques. Colorés. Influences multiples. Parfois géométriques, parfois mystiques. De quoi se projeter et imaginer des histoires. Souvent alignés ou disposés en cercle, de taille plus ou moins grande, ces masques m’ont intrigué. Quelque temps plus tard, je vois dans la rue Edouard Lockroy une version revisitée de Pacman face à des Tetris. Je n’avais pas fait le lien entre ces deux concepts. C’est via Facebook que tout s’est connecté. BauBô interroge la société sur la question du féminin et du masculin. Pourquoi y’a-t-il une différence de valeur ?
La question est vaste et complexe. J’ai été sensibilisé par une amie à ce sujet et je continue au quotidien de m’informer, de me former et d’agir. Je conseille d’ailleurs à ce sujet la lecture des 2 tomes de Masculin/Féminin de Françoise Héritier. La valeur différenciée est une construction sociale – et ce qui est construit peut se déconstruire – qui mérite une mobilisation internationale, une détermination individuelle et collective. Il faut changer les pratiques, les mentalités et mettre fin à toute forme de domination.
Revenons à BauBô. 1 mois donc pour voir ses oeuvres, ses masques, ses coussins, ses tableaux brodés, ses dessins. Un regard sensible et percutant, un univers à plat et en relief à voir absolument !!! J’ai eu la chance de mettre la main sur un Tshirt BauBô (et aussi Codex Urbanus). Je suis ravi.