Il est important pour moi de (re)prendre le chemin des expositions et de commencer par une valeur sûre : Akiza la galerie. Après un été à moitié francilien, à moitié rhonalpien, l’éloignement avec le Street art se fait sentir. Déjà 10 mois depuis la dernière interview. Je n’ai d’ailleurs pas rempli ma part du « contrat » car à la dernière question (qui retourne l’intervieweur en interviewé), Philippe Hérard m’avait demandé de lui faire à mon tour une dédicace. J’ai une idée très précise de ce que je veux lui faire mais n’ai pas pris le temps. Et, comme si un sort m’avait été jeté, je n’ai depuis pas fait d’interview. Pire encore celles et ceux avec qui j’avais des touches, il y a eu à chaque fois des reports, des agendas qui ne coïncidaient pas.
Voilà pourquoi aujourd’hui il fait briser ce cycle, sortir du cadre, forcer la chance et tout simplement revoir des amis. L’occasion en plus est belle puisque Robinson et Yoshii accueillent 5 artistes de Portland dont Voxx Romana. Je l’ai découvert lors de l’exposition STENCILiSMeS en mai. Je sors du boulot. RER A. CDG Etoile. Ligne 2. Descendre à Blanche. Remonter la rue Lepic puis Tholozé. Les quatre mecs de Portland sont déjà à l’oeuvre. Je me fais discret. Je rentres saluer Robinson. Le rythme semble soutenu. Les oeuvres présentées sont en partie celle de l’expo passée. Avec une dose en plus de Voxx Romana.
A l’extérieur, cela peint. Les pochoirs sont de sortie et l’odeur caractéristique des bombes de peinture arrive jusqu’à moi. L’anglais se fait entendre. Robinson est au four et au moulin. En plus, je lui rajoute du travail en achetant un t-shirt Alto Contraste et en récupérant un autre Noty & Aroz. Il assure autant auprès des artistes que des passants. J’aime toujours autant l’univers d’Adey, la force d’Akiza, la finesse d’Artiste Ouvrier, l’efficacité d’Eugene Barricade. Je vous laisse en image.
Voxx Romana and friends – 12 septembre 2016
Étiquettes : Akiza, Street Art
Il est important pour moi de (re)prendre le chemin des expositions et de commencer par une valeur sûre : Akiza la galerie. Après un été à moitié francilien, à moitié rhonalpien, l’éloignement avec le Street art se fait sentir. Déjà 10 mois depuis la dernière interview. Je n’ai d’ailleurs pas rempli ma part du « contrat » car à la dernière question (qui retourne l’intervieweur en interviewé), Philippe Hérard m’avait demandé de lui faire à mon tour une dédicace. J’ai une idée très précise de ce que je veux lui faire mais n’ai pas pris le temps. Et, comme si un sort m’avait été jeté, je n’ai depuis pas fait d’interview. Pire encore celles et ceux avec qui j’avais des touches, il y a eu à chaque fois des reports, des agendas qui ne coïncidaient pas.
Voilà pourquoi aujourd’hui il fait briser ce cycle, sortir du cadre, forcer la chance et tout simplement revoir des amis. L’occasion en plus est belle puisque Robinson et Yoshii accueillent 5 artistes de Portland dont Voxx Romana. Je l’ai découvert lors de l’exposition STENCILiSMeS en mai. Je sors du boulot. RER A. CDG Etoile. Ligne 2. Descendre à Blanche. Remonter la rue Lepic puis Tholozé. Les quatre mecs de Portland sont déjà à l’oeuvre. Je me fais discret. Je rentres saluer Robinson. Le rythme semble soutenu. Les oeuvres présentées sont en partie celle de l’expo passée. Avec une dose en plus de Voxx Romana.
A l’extérieur, cela peint. Les pochoirs sont de sortie et l’odeur caractéristique des bombes de peinture arrive jusqu’à moi. L’anglais se fait entendre. Robinson est au four et au moulin. En plus, je lui rajoute du travail en achetant un t-shirt Alto Contraste et en récupérant un autre Noty & Aroz. Il assure autant auprès des artistes que des passants. J’aime toujours autant l’univers d’Adey, la force d’Akiza, la finesse d’Artiste Ouvrier, l’efficacité d’Eugene Barricade. Je vous laisse en image.