Toulouse part 2. J’étais basé chez une amie. Il y a une anecdote à raconter qui depuis m’a servie de leçon. Je pars un matin à vélo pour découvrir un site de Street art au bord du canal, proche d’un port de plaisance. Je suis en train de photographier les différentes oeuvres quand soudain erreur. Mon appareil photo tombe en rade, problème d’obturateur. Obliger de rentrer chez mon amie pour mener des recherches sur le net, avoir l’info que cette panne est arrivée à d’autre et qu’heureusement sous garanti, il me fallait juste le déposer 2 semaines chez Canon. Impossible donc de le laisser sur Toulouse, d’autant plus que le centre de réparation n’était pas sur Toulouse même. Deuxième point positif, mon amie avait quasiment le même modèle d’appareil photo et me l’a prêté pour la fin de mon séjour sur Toulouse.
Je pars donc de nouveau en expédition dans un entrepôt désaffecté. J’avais eu l’info par un passionné. Le bus à prendre. La rue par laquelle il fallait rentrer, en utilisant un trou dans le grillage. Une fois à l’intérieur, une vrai mine d’or. Je prends le temps de faire le tour de chaque bâtiment, un skatepark, deux graffeurs en train d’oeuvrer. Je discute avec eux et ils me disent qu’il faut passer de l’autre côté du grillage, qu’il y a encore d’autres bâtiments à voir. Je finis déjà mon tour de ce côté.
En avant pour l’escalade. L’appareil photo de mon amie autour du coup, mon sac dans le dos, je me lance à escalader un grillage. Il est flexible. J’arrive à l’enjamber. Puis je perds l’équilibre, tombe de l’autre côté. Et l’appareil photo, qui était autour de mon cou, n’y est plus. Il n’est pas accroché au grillage. En fait il est 5 mètres plus loin, l’objectif défoncé. A vouloir jouer l’aventurier, j’en suis devenu imprudent Tout cela pour l’amour du Street art. Il y a des jours où il faut apprendre de la vie, où il faut prendre du recul sur les événements et ne pas s’attacher au côté matériel.
Pour vous éclairer un peu sur certain(e)s artistes que vous allez voir, il y a entre autres : David le Boucher, LENZ, du Serain, Vinie, Fred le chevalier. Pour celles et ceux qui n’auraient par vu le début, voici la première partie de mon voyage à Toulouse. J’ai hâte d’y retourner pour voir du Street art et surtout voir mon amie et sa fille.
Toulouse part 2 – Juin 2013
Toulouse part 2. J’étais basé chez une amie. Il y a une anecdote à raconter qui depuis m’a servie de leçon. Je pars un matin à vélo pour découvrir un site de Street art au bord du canal, proche d’un port de plaisance. Je suis en train de photographier les différentes oeuvres quand soudain erreur. Mon appareil photo tombe en rade, problème d’obturateur. Obliger de rentrer chez mon amie pour mener des recherches sur le net, avoir l’info que cette panne est arrivée à d’autre et qu’heureusement sous garanti, il me fallait juste le déposer 2 semaines chez Canon. Impossible donc de le laisser sur Toulouse, d’autant plus que le centre de réparation n’était pas sur Toulouse même. Deuxième point positif, mon amie avait quasiment le même modèle d’appareil photo et me l’a prêté pour la fin de mon séjour sur Toulouse.
Je pars donc de nouveau en expédition dans un entrepôt désaffecté. J’avais eu l’info par un passionné. Le bus à prendre. La rue par laquelle il fallait rentrer, en utilisant un trou dans le grillage. Une fois à l’intérieur, une vrai mine d’or. Je prends le temps de faire le tour de chaque bâtiment, un skatepark, deux graffeurs en train d’oeuvrer. Je discute avec eux et ils me disent qu’il faut passer de l’autre côté du grillage, qu’il y a encore d’autres bâtiments à voir. Je finis déjà mon tour de ce côté.
En avant pour l’escalade. L’appareil photo de mon amie autour du coup, mon sac dans le dos, je me lance à escalader un grillage. Il est flexible. J’arrive à l’enjamber. Puis je perds l’équilibre, tombe de l’autre côté. Et l’appareil photo, qui était autour de mon cou, n’y est plus. Il n’est pas accroché au grillage. En fait il est 5 mètres plus loin, l’objectif défoncé. A vouloir jouer l’aventurier, j’en suis devenu imprudent Tout cela pour l’amour du Street art. Il y a des jours où il faut apprendre de la vie, où il faut prendre du recul sur les événements et ne pas s’attacher au côté matériel.