En voilà une bonne nouvelle : une exposition éponyme. Enfin Akiza remplit son antre par son propre univers et nous donne à voir 13 ans de travail, de recherche. Un chemin artistique, une aventure de vie entre la tortueuse question d’être plasticien ou graphiste, entre le fait d’être galeriste et artiste. Un choix aussi dans la diversité des supports, des tailles, du traitement de son sujet. Je suis plus que ravi d’avoir fait le choix ce soir de prendre la route su 18ème, de la rue Tholozé. A voir avant qu’il ne remplisse les murs par d’autres artistes, par d’autres thèmes (c’est â dire le 24 avril).
Même si Akiza joue avec le noir et le blanc c’est toute une palette, une subtilité dans les arrangements, une complexité qu’il faut percevoir. C’est une poupée identique et multiple, une série et une vibration unique. Composer, recomposer, décomposer, ne pas se satisfaire du simple, se réjouir dans les heures passées à créer. J’apprécie cette singularité. Chaque exposition a déclenché en moi une émotion si forte, de l’inconfort parfois, des interrogations. Là c’est pour moi la suite de l’interview que l’on a fait ensemble avec Robinson il y a déjà 1 ans et demi. C’est, comme ça que je le vois, un récit entre ombre et lumière, entre précision et déstructuration, entre les limbes et le chaos. C’est sa part de vérité et de mystère.
Aujourd’hui c’est une belle relation qui nous lit avec Robinson et Yoshii. De celle où l’on peut se dire les choses simplement, où l’on n’a pas peur d’ouvrir une part d’intime, du coeur pour décrire une toile qui m’a touché, d’expliquer le lien qu’ils ont avec tel ou tel artiste. De celle qui offre une part de routine dans cette question « et si tu devais partir en courant avec une oeuvre sous le bras, ce serait laquelle? », routine qui rassure. De celle qui a une part de spontanéité, de sincérité, avec son lot de rebondissement, d’imprévu. De celle qui emmène parfois au delà des murs de la galerie, puisque grâce à eux j’avais eu la chance d’être accrédité pour l’exposition Dalí fait le mur (quel souvenir mémorable !!).
Exposition Akiza chez Akiza – 11 avril 2016
Étiquettes : Akiza, Street Art
En voilà une bonne nouvelle : une exposition éponyme. Enfin Akiza remplit son antre par son propre univers et nous donne à voir 13 ans de travail, de recherche. Un chemin artistique, une aventure de vie entre la tortueuse question d’être plasticien ou graphiste, entre le fait d’être galeriste et artiste. Un choix aussi dans la diversité des supports, des tailles, du traitement de son sujet. Je suis plus que ravi d’avoir fait le choix ce soir de prendre la route su 18ème, de la rue Tholozé. A voir avant qu’il ne remplisse les murs par d’autres artistes, par d’autres thèmes (c’est â dire le 24 avril).
Même si Akiza joue avec le noir et le blanc c’est toute une palette, une subtilité dans les arrangements, une complexité qu’il faut percevoir. C’est une poupée identique et multiple, une série et une vibration unique. Composer, recomposer, décomposer, ne pas se satisfaire du simple, se réjouir dans les heures passées à créer. J’apprécie cette singularité. Chaque exposition a déclenché en moi une émotion si forte, de l’inconfort parfois, des interrogations. Là c’est pour moi la suite de l’interview que l’on a fait ensemble avec Robinson il y a déjà 1 ans et demi. C’est, comme ça que je le vois, un récit entre ombre et lumière, entre précision et déstructuration, entre les limbes et le chaos. C’est sa part de vérité et de mystère.
Aujourd’hui c’est une belle relation qui nous lit avec Robinson et Yoshii. De celle où l’on peut se dire les choses simplement, où l’on n’a pas peur d’ouvrir une part d’intime, du coeur pour décrire une toile qui m’a touché, d’expliquer le lien qu’ils ont avec tel ou tel artiste. De celle qui offre une part de routine dans cette question « et si tu devais partir en courant avec une oeuvre sous le bras, ce serait laquelle? », routine qui rassure. De celle qui a une part de spontanéité, de sincérité, avec son lot de rebondissement, d’imprévu. De celle qui emmène parfois au delà des murs de la galerie, puisque grâce à eux j’avais eu la chance d’être accrédité pour l’exposition Dalí fait le mur (quel souvenir mémorable !!).