16h45. Chemin du retour. Bifurcation prévue. Cascadeur – Ghost surfer dans les oreilles. RER A. je file en direction du 13ème arrondissement. Un trio de galeries avec quelques rayons de soleil de fin d’après-midi. 1 station puis quelques autres. Je modifie ma correspondance pour donner un peu d’insolite à mon trajet. Gare de Lyon. Métro ligne 14. Arrêt Bibliothèque François Mitterrand. Au programme : Itinerrance, Art&Craft et LavoMatik.
17h05 le changement se fait. Plus court qu’à Châtelet. Où vont tous ces gens, valises à la main pour certains, écharpes autour du cou pour certaines. C’était aujourd’hui l’unique fenêtre dans mon emploi du temps pour voir ce que ces 3 galeries présentent. Deux solos avec Maye et Stew, une collective avec le Murs ouverts n°14. Suivez moi et ouvrez grand les yeux !!
17h15 Itinerrance. Ce n’est pas souvent que la galerie est ouverte. Une première avec Maye. La mise en scène est magnifique. Il manque le craquement du bois, les oiseaux, le défilé des fourmis parasols et je me serai cru en Guyane. Les toiles représentent des géants filiformes, étirés. Les mains agrippent des mondes inconnues et qui fourmillent. Le corps s’ouvrent sur un rêve intérieur. Des notes de musique, un texte d’Oxmo, des papillons, comme par magie, comme pour sublimer le silence. Il faut presque prendre un loupe pour apprécier la finesse du travail, les mondes imbriqués qui vivent en parallèle. Jusqu’au 18 juin.
17h45. Reprendre rue Neuve Tolbiac. Descendre les escaliers pour rejoindre la rue Chevaleret. 2ème étape, Arts & Craft chez L’encadreur. Un artisan et une galerie. De quoi voir deux travaux en un : celui de Stew et celui de Vincent Tiercin. Les oiseaux et les samouraïs remplissent une partie des murs. Les coins de cadre en démonstration une autre. Pas simple de trouver la bonne alchimie entre l’oeuvre et l’encadrement, entre ce qui pourrait se suffire à elle-même et ce qui apporte un plus, qui sublime les couleurs. J’apprécie particulièrement deux oeuvres : le miroir en vitrine qui nous projette dans l’univers de Stew, le dragon pour la force du noir et blanc, avec un cadre magnifique qui vient équilibrer les contrastes et emmener l’oeuvre au delà (rappelant pour ma part le toit d’un temple japonais). A voir jusqu’au 15 juin.
18h05. Prendre l’escalier rue des Grands Moulins. Zigzaguer dans les rues. Dernière étape le LavoMatik. Ben est au commande. De la bonne zik. Et le Murs Ouverts n°14 qui regroupe plus de soixante artistes. Expo éclectique, mélangeant les techniques, les supports, les tailles. L’harmonie se fait par la densité et l’écho entre certaines oeuvres. Le sombre répond au criard, le fun au tragique, l’absurde au réalisme. Il y a de grands noms, d’autres en devenir. A voir jusqu’au 14 juin.
1 + 3 = 13 – 25 mai 2016
Étiquettes : Itinerrance, LavoMatik, Street Art
16h45. Chemin du retour. Bifurcation prévue. Cascadeur – Ghost surfer dans les oreilles. RER A. je file en direction du 13ème arrondissement. Un trio de galeries avec quelques rayons de soleil de fin d’après-midi. 1 station puis quelques autres. Je modifie ma correspondance pour donner un peu d’insolite à mon trajet. Gare de Lyon. Métro ligne 14. Arrêt Bibliothèque François Mitterrand. Au programme : Itinerrance, Art&Craft et LavoMatik.
17h05 le changement se fait. Plus court qu’à Châtelet. Où vont tous ces gens, valises à la main pour certains, écharpes autour du cou pour certaines. C’était aujourd’hui l’unique fenêtre dans mon emploi du temps pour voir ce que ces 3 galeries présentent. Deux solos avec Maye et Stew, une collective avec le Murs ouverts n°14. Suivez moi et ouvrez grand les yeux !!
17h15 Itinerrance. Ce n’est pas souvent que la galerie est ouverte. Une première avec Maye. La mise en scène est magnifique. Il manque le craquement du bois, les oiseaux, le défilé des fourmis parasols et je me serai cru en Guyane. Les toiles représentent des géants filiformes, étirés. Les mains agrippent des mondes inconnues et qui fourmillent. Le corps s’ouvrent sur un rêve intérieur. Des notes de musique, un texte d’Oxmo, des papillons, comme par magie, comme pour sublimer le silence. Il faut presque prendre un loupe pour apprécier la finesse du travail, les mondes imbriqués qui vivent en parallèle. Jusqu’au 18 juin.
17h45. Reprendre rue Neuve Tolbiac. Descendre les escaliers pour rejoindre la rue Chevaleret. 2ème étape, Arts & Craft chez L’encadreur. Un artisan et une galerie. De quoi voir deux travaux en un : celui de Stew et celui de Vincent Tiercin. Les oiseaux et les samouraïs remplissent une partie des murs. Les coins de cadre en démonstration une autre. Pas simple de trouver la bonne alchimie entre l’oeuvre et l’encadrement, entre ce qui pourrait se suffire à elle-même et ce qui apporte un plus, qui sublime les couleurs. J’apprécie particulièrement deux oeuvres : le miroir en vitrine qui nous projette dans l’univers de Stew, le dragon pour la force du noir et blanc, avec un cadre magnifique qui vient équilibrer les contrastes et emmener l’oeuvre au delà (rappelant pour ma part le toit d’un temple japonais). A voir jusqu’au 15 juin.
18h05. Prendre l’escalier rue des Grands Moulins. Zigzaguer dans les rues. Dernière étape le LavoMatik. Ben est au commande. De la bonne zik. Et le Murs Ouverts n°14 qui regroupe plus de soixante artistes. Expo éclectique, mélangeant les techniques, les supports, les tailles. L’harmonie se fait par la densité et l’écho entre certaines oeuvres. Le sombre répond au criard, le fun au tragique, l’absurde au réalisme. Il y a de grands noms, d’autres en devenir. A voir jusqu’au 14 juin.