Il faut grimper. Car le parc de Belleville ne s’offre pas facilement. En cette fin d’avril, entre soleil et pluie, choissisez bien votre jour et venez profiter du parc pour un pique nique ou une sieste. En montant à la terrasse, au dessus du musée de l’air, vous passerez devant les oeuvres que Seth a déjà faites. Une histoire en plusieurs images, toutes en longueur. Encore quelques marches et voilà l’esplanade. La vue est magnifique et offre un beau panorama de Paris.
Seth est en action, avec son équipe. Des personnages se sont posés sur les colonnes. Entre ici et là, entre le gris de la ville parfois et les couleurs des rêves, Seth met ces personnages en suspension. J’apprécie énormément ces choix de couleurs, vives, oniriques, entre réel et imaginaire. Les personnes sont cachés et permettent à chaque visiteur de se retrouver parmi l’un d’eux, de pouvoir se projeter à être là et ailleurs à la fois.
Il y a une poésie, une simplicité qui touche, qui interpelle. Les passants étaient curieux de comprendre d’où venaient ces personnages, qui était en train d’oeuvrer. Seth étant en pleine action, je me suis retrouvé passeur de rêve d’une certaine manière. Au bout de quelques photos, une femme m’interpelle. Je rencontre Elise Herszowicz d’Art Azoï. Intéressant de mettre un visage sur un nom, car c’est grâce à elle et l’information partagée sur Facebook que je suis venu jusqu’ici aujourd’hui. Une amie de Seth est également présente et me ramène en pensée vers son île, La Réunion. L’envie d’y aller est là, surtout que mes parents y vivent depuis 4 ans déjà et qu’il y a tant à découvrir.
Je tourne autour de chaque colonne, je prends le temps, je regarde aussi au delà. Il faudra que je revienne car tout n’était pas fini. Normalement, Seth m’a dit qu’il finirait aujourd’hui. Je vous invite donc en ce 1er mai d’aller faire un tour en haut du parc de Belleville, d’aller à la rencontre de Seth et de voir ses oeuvres.
Seth au parc de Belleville – 30 avril 2014
Il faut grimper. Car le parc de Belleville ne s’offre pas facilement. En cette fin d’avril, entre soleil et pluie, choissisez bien votre jour et venez profiter du parc pour un pique nique ou une sieste. En montant à la terrasse, au dessus du musée de l’air, vous passerez devant les oeuvres que Seth a déjà faites. Une histoire en plusieurs images, toutes en longueur. Encore quelques marches et voilà l’esplanade. La vue est magnifique et offre un beau panorama de Paris.
Seth est en action, avec son équipe. Des personnages se sont posés sur les colonnes. Entre ici et là, entre le gris de la ville parfois et les couleurs des rêves, Seth met ces personnages en suspension. J’apprécie énormément ces choix de couleurs, vives, oniriques, entre réel et imaginaire. Les personnes sont cachés et permettent à chaque visiteur de se retrouver parmi l’un d’eux, de pouvoir se projeter à être là et ailleurs à la fois.
Il y a une poésie, une simplicité qui touche, qui interpelle. Les passants étaient curieux de comprendre d’où venaient ces personnages, qui était en train d’oeuvrer. Seth étant en pleine action, je me suis retrouvé passeur de rêve d’une certaine manière. Au bout de quelques photos, une femme m’interpelle. Je rencontre Elise Herszowicz d’Art Azoï. Intéressant de mettre un visage sur un nom, car c’est grâce à elle et l’information partagée sur Facebook que je suis venu jusqu’ici aujourd’hui. Une amie de Seth est également présente et me ramène en pensée vers son île, La Réunion. L’envie d’y aller est là, surtout que mes parents y vivent depuis 4 ans déjà et qu’il y a tant à découvrir.
Je tourne autour de chaque colonne, je prends le temps, je regarde aussi au delà. Il faudra que je revienne car tout n’était pas fini. Normalement, Seth m’a dit qu’il finirait aujourd’hui. Je vous invite donc en ce 1er mai d’aller faire un tour en haut du parc de Belleville, d’aller à la rencontre de Seth et de voir ses oeuvres.
Pour découvrir son univers je vous invite à lire ces deux articles déjà présents sur mon site :
http://clementcharleux.com/seth-le-globepainter
http://clementcharleux.com/exposition-seth-vilcollet-1er-fevrier-2014
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