J’ai entendu pour la première fois parler de cette exposition par AKIZA. Le soir de son interview, il venait de finir la toile après une petite nuit. Elle séchait dans la cour. C’était avant l’été. Depuis il y a eul’exposition Summertimedans leur galerie et la sortie de l’interview d’AKIZA.
Après une semaine de vacances j’ai repris le travail. Début septembre, AKIZA me fait un message me demandant si j’ai des informations sur l’expositionDalí fait le mur et si ça me dirait d’être présent au vernissage. Ils oeuvrent auprès de la commissaire d’exposition Véronique Mesnager. Quelques jours plus tard, un message via Facebook. Elle me demande si je peux lui envoyer mon email pour qu’elle passe l’adresse à l’agence de com qui s’occupe de l’événement. J’ai une accréditation presse. Je pose quelques questions, novice que je suis en la matière et surtout car pour participer à l’événement il faut que je pose ma 1/2 journée.
Tout est ok. L’invitation, le dossier de presse, l’appareil photo. Je retrouve AKIZA dans leur galerie. L’occasion d’acheter deux t-shirts dont celui en lien avec l’œuvre réalisée pour Dalí fait le mur. Yoshii et Robinson ont encore à faire. Nous décidons de nous retrouver au musée directement. Devant, on installe des plaques blanches en contreplaqué pour les performances qui vont suivre.
Je rentre pour la première fois dans le musée Dalí. « Bonjour, vous faites partie de quel média? », me demande-t-on à l’entrée. Et moi de répondre « Je ne suis pas professionnel, je tiens juste un blog spécialisé entre autre sur le Street Art ». Je m’inscris et descend les quelques marches qui me séparent de l’expo. En bas, plusieurs caméras et appareils photos cherchent le bon angle, la bonne prise. Pour ma part, je suis tout sourire, allant d’une œuvre à l’autre.
Dalí m’a toujours intrigué depuis que j’ai découvert ses œuvres à Madrid quand j’étais adolescent. Son excentricité, sa moustache, son sens du détail, ses mondes oniriques. On pourrait se dire qu’il est trop compliqué de le faire co-exister avec des Street artistes, que cela créera une juxtaposition plutôt qu’une rencontre. Et bien détrompez vous, cela fonctionne très bien !!! La scénographie permet la résonance, crée un point de contact, mêle les univers. Un jeu de perspective est fait pour guider les visiteurs et mettre en lien les œuvres de Dalí avec celles des Street artistes. Peintures, sculptures, dessins, anamorphose, miroir, tout un monde à découvrir.
Comme vous l’aurez compris, Dalí fait le mur est une expo à ne pas rater. Elle dure du 10 septembre au 15 mars 2015. Cela peut être également l’occasion de sillonner les rues de la butte Montmartre, de faire un p’tit apéro entre amis dans l’un des parcs ou en dessous du Sacré Cœur et surtout de vous arrêter à AKIZA la galerie 3 rue Tholozé. D’ailleurs, merci encore AKIZA !! Vous êtes ma bonne étoile et en plus je sais que l’aventure avec vous ne fait que commencer. Merci également à Véronique Mesnager pour m’avoir permis d’être accrédité.
Exposition Dalí fait le mur – 10 septembre 2014
Étiquettes : Street Art
J’ai entendu pour la première fois parler de cette exposition par AKIZA. Le soir de son interview, il venait de finir la toile après une petite nuit. Elle séchait dans la cour. C’était avant l’été. Depuis il y a eu l’exposition Summertime dans leur galerie et la sortie de l’interview d’AKIZA.
Après une semaine de vacances j’ai repris le travail. Début septembre, AKIZA me fait un message me demandant si j’ai des informations sur l’exposition Dalí fait le mur et si ça me dirait d’être présent au vernissage. Ils oeuvrent auprès de la commissaire d’exposition Véronique Mesnager. Quelques jours plus tard, un message via Facebook. Elle me demande si je peux lui envoyer mon email pour qu’elle passe l’adresse à l’agence de com qui s’occupe de l’événement. J’ai une accréditation presse. Je pose quelques questions, novice que je suis en la matière et surtout car pour participer à l’événement il faut que je pose ma 1/2 journée.
Tout est ok. L’invitation, le dossier de presse, l’appareil photo. Je retrouve AKIZA dans leur galerie. L’occasion d’acheter deux t-shirts dont celui en lien avec l’œuvre réalisée pour Dalí fait le mur. Yoshii et Robinson ont encore à faire. Nous décidons de nous retrouver au musée directement. Devant, on installe des plaques blanches en contreplaqué pour les performances qui vont suivre.
Je rentre pour la première fois dans le musée Dalí. « Bonjour, vous faites partie de quel média? », me demande-t-on à l’entrée. Et moi de répondre « Je ne suis pas professionnel, je tiens juste un blog spécialisé entre autre sur le Street Art ». Je m’inscris et descend les quelques marches qui me séparent de l’expo. En bas, plusieurs caméras et appareils photos cherchent le bon angle, la bonne prise. Pour ma part, je suis tout sourire, allant d’une œuvre à l’autre.
Dalí m’a toujours intrigué depuis que j’ai découvert ses œuvres à Madrid quand j’étais adolescent. Son excentricité, sa moustache, son sens du détail, ses mondes oniriques. On pourrait se dire qu’il est trop compliqué de le faire co-exister avec des Street artistes, que cela créera une juxtaposition plutôt qu’une rencontre. Et bien détrompez vous, cela fonctionne très bien !!! La scénographie permet la résonance, crée un point de contact, mêle les univers. Un jeu de perspective est fait pour guider les visiteurs et mettre en lien les œuvres de Dalí avec celles des Street artistes. Peintures, sculptures, dessins, anamorphose, miroir, tout un monde à découvrir.
Pour vous faciliter la visite, vous trouverez ci-dessous les photos de l’exposition uniquement. A découvrir par ordre alphabétique : Artiste Ouvrier, AKIZA, Codex Urbanus, Fred Calmets, Hadrien Durand-Baïssas, Jadikan, Jérôme Mesnager, Kool Koor, Kouka, Levalet, Manser, NKDM, Nowart, Paella, Pioc PPC, Sack, Speedy Graphito, Thomas Mainardi, Valeria Attinelli, Zokatos. Dans une autre galerie (section Street art) il y a les performances des artistes, réalisées à l’extérieur entre 15h et 19h pour Dalí fait le mur.
Comme vous l’aurez compris, Dalí fait le mur est une expo à ne pas rater. Elle dure du 10 septembre au 15 mars 2015. Cela peut être également l’occasion de sillonner les rues de la butte Montmartre, de faire un p’tit apéro entre amis dans l’un des parcs ou en dessous du Sacré Cœur et surtout de vous arrêter à AKIZA la galerie 3 rue Tholozé. D’ailleurs, merci encore AKIZA !! Vous êtes ma bonne étoile et en plus je sais que l’aventure avec vous ne fait que commencer. Merci également à Véronique Mesnager pour m’avoir permis d’être accrédité.