Il y a également de magnifiques oeuvres de Méo. Nous passons devant le centre culturel franco-chinois, où il a peint une fresque gigantesque sur la culture chinoise, sur les différents sports pratiqués. Sur un parking il y a l’hommage à Nelson Mandela, une oeuvre en noir et blanc, simple, efficace. La phrase utilisée par Méo est une citation : « No one is born hating another person because of the color of his skin, or his background, or his religion. People must learn to hate, and if they can learn to hate, they can be taught to love, for love comes more naturally to the human heart than its opposite. »
Pause déjeuner, nous prenons le temps de nous restaurer au Cap Méchant, un énorme buffet. Quel régal. Nous discutons de notre conception du Street art, de nos rencontres avec certains artistes, de la façon dont « nous », les photographes passionnés, suivons le mouvement.
Direction Terre Sainte, ce quartier de pécheurs de St Pierre où oeuvrent depuis peu un duo Sept et Box. J’aperçois des petites personnages que Sept faisait en solo. Puis une oeuvre de Fantomette drôlement efficace, puis une de Jace bien à propos devant un dépôt sauvage. Nous arrivons à un autre spot. Il faut descendre dans la nouvelle ravine par le côté. Là, c’est des centaines de mètres de murs qui nous attendent. Je n’ose même pas imaginer la quantité d’eau qui peut passer là en temps de cyclone. Plusieurs artistes ont investi le lieu. Les univers se mêlent les uns aux autres. De quoi bien s’éclater.
Nous reprenons la voiture pour aller dans un lieu atypique à Pierrefonds, une ancienne usine sucrière. Le lieu a été condamné et il faut jouer les escaladeurs pour entrer à l’intérieur. Nous faisons attention à l’appareil photo de l’autre au moment de franchir le mur de béton. Le lieu est extra. Quelle vitalité artistique. Il y a tous les styles : du lettrage, des personnages, du graphique, de l’abstrait.
Il est déjà 16h30. Je remercie Olivier d’avoir pris le temps de me faire découvrir ces trésors du Sud de l’Ile. Il me conseille de prendre contact avec les offices de tourisme pour obtenir des aides pour faire des reportages ici ou là. Bonne idée, mais vais-je oser… Nous nous disons « à bientôt ». Pour ma part, la fin de séjour à la Réunion est en train de prendre un virage Street art qui me ravi. Je dois rencontrer Méo, Gorg One, Sept & Box pour les interviewer (à venir bientôt).
Virée Street art dans le sud part 2 – 19 janvier 2017
Il y a également de magnifiques oeuvres de Méo. Nous passons devant le centre culturel franco-chinois, où il a peint une fresque gigantesque sur la culture chinoise, sur les différents sports pratiqués. Sur un parking il y a l’hommage à Nelson Mandela, une oeuvre en noir et blanc, simple, efficace. La phrase utilisée par Méo est une citation : « No one is born hating another person because of the color of his skin, or his background, or his religion. People must learn to hate, and if they can learn to hate, they can be taught to love, for love comes more naturally to the human heart than its opposite. »
Pause déjeuner, nous prenons le temps de nous restaurer au Cap Méchant, un énorme buffet. Quel régal. Nous discutons de notre conception du Street art, de nos rencontres avec certains artistes, de la façon dont « nous », les photographes passionnés, suivons le mouvement.
Direction Terre Sainte, ce quartier de pécheurs de St Pierre où oeuvrent depuis peu un duo Sept et Box. J’aperçois des petites personnages que Sept faisait en solo. Puis une oeuvre de Fantomette drôlement efficace, puis une de Jace bien à propos devant un dépôt sauvage. Nous arrivons à un autre spot. Il faut descendre dans la nouvelle ravine par le côté. Là, c’est des centaines de mètres de murs qui nous attendent. Je n’ose même pas imaginer la quantité d’eau qui peut passer là en temps de cyclone. Plusieurs artistes ont investi le lieu. Les univers se mêlent les uns aux autres. De quoi bien s’éclater.
Nous reprenons la voiture pour aller dans un lieu atypique à Pierrefonds, une ancienne usine sucrière. Le lieu a été condamné et il faut jouer les escaladeurs pour entrer à l’intérieur. Nous faisons attention à l’appareil photo de l’autre au moment de franchir le mur de béton. Le lieu est extra. Quelle vitalité artistique. Il y a tous les styles : du lettrage, des personnages, du graphique, de l’abstrait.
Il est déjà 16h30. Je remercie Olivier d’avoir pris le temps de me faire découvrir ces trésors du Sud de l’Ile. Il me conseille de prendre contact avec les offices de tourisme pour obtenir des aides pour faire des reportages ici ou là. Bonne idée, mais vais-je oser… Nous nous disons « à bientôt ». Pour ma part, la fin de séjour à la Réunion est en train de prendre un virage Street art qui me ravi. Je dois rencontrer Méo, Gorg One, Sept & Box pour les interviewer (à venir bientôt).
Une série de vidéos, Plein les yeux de Bleu M Prod, vous permettra d’en découvrir davantage sur certain.e.s artistes réunionnais.es : Abeil, ABR, Alo, Arsene Lupin, Bonheur, L’Activist, Fantomette, Floafleur, Gorg One, Heype, InKult, Jace, Kes, Kid Kreol & Boogie, Koph, Lego, L’1di1, Oner, Omouck, Mégot, Méo, Snif