Le mois de septembre se remplit de festivités et nos week end s’en retrouvent bien chargés. Difficile de faire un choix, d’être de partout, surtout lorsque les déplacements se font en transports en commun. Faire la fête, cela permet de repousser un peu les nuages gris de l’automne pour profiter encore un peu du soleil, cela donne une bonne occasion de retrouver des ami(e)s pour profiter de la vie.
Voilà un rendez vous haut en couleur : le festival La voie est libre à Montreuil. Une journée prise par les citoyens pour détourner une autoroute de sa fonction première, faire circuler des voitures. La voilà piétonne, accessible aux poussettes, aux vélos, aux engins non motorisés. Une journée pour parler des enjeux d’aujourd’hui pour demain (et non pas des enjeux de demain). Ecologie. Changement climatique. Alternatives. Décroissance.
Voir les oeuvres se faire, par touches, par coups de bombe, pouvoir compter le nombre de déplacements des échelles, le nombre de corrections effectués par artiste. Voir des techniques différentes, des univers s’imbriquer, se compléter, se fondre les uns dans les autres. Voilà ce qui me plaît particulièrement, au delà d’être le témoin de ce genre de manifestation. J’adorerais faire plus, suivre un projet de A à Z, vous faire découvrir l’envers du décor, sillonner le monde pour découvrir et vous montrer l’impact de cette expression urbaine.
PS : Jetez un oeil à l’édition 2014 du festival La voie est libre.
La voie est libre – 20 septembre 2015
Le mois de septembre se remplit de festivités et nos week end s’en retrouvent bien chargés. Difficile de faire un choix, d’être de partout, surtout lorsque les déplacements se font en transports en commun. Faire la fête, cela permet de repousser un peu les nuages gris de l’automne pour profiter encore un peu du soleil, cela donne une bonne occasion de retrouver des ami(e)s pour profiter de la vie.
Voilà un rendez vous haut en couleur : le festival La voie est libre à Montreuil. Une journée prise par les citoyens pour détourner une autoroute de sa fonction première, faire circuler des voitures. La voilà piétonne, accessible aux poussettes, aux vélos, aux engins non motorisés. Une journée pour parler des enjeux d’aujourd’hui pour demain (et non pas des enjeux de demain). Ecologie. Changement climatique. Alternatives. Décroissance.
Il y a aussi des formes artistes non identifiés, des renards, des manèges mécaniques, des scènes musicales d’amateurs et professionnels. Il y a des plantes à rapporter chez soi, des jus de pommes pressées sous nos yeux, de la poésie, un bateau de pirates. C’est aussi un événement Street art, The Bridge, organisé entre autre par JBC, NoRules Corp et YZ. Cette année ils ont réuni : 36.15, Betty Baron, Bault, Beerens, Blo, Claire Courdavault, Olivia Di Bona, Gilbert, Goddog, Jean Faucheur, JBC, Jerk45, Juan, Katset, Kub, Lapinthur, Clément Laurentin, Le Cyklop, Limo, Théo Lopez, Maksim Lopez, Lyyst, Mademoiselle Maurice, Mister Pee, Mosko, Niark, NoRulesCorp, Pedro, RCF1, Rubbish, Sirin Dogus, St Oma, Stew, Stoul, Surfil, Suriani, Tetar, YZ, Pablito Zago. A découvrir via mon article ou en empruntant l’autoroute en voiture (mais attention à ne pas créer un bouchon pour autant). Par ici la deuxième partie.
Voir les oeuvres se faire, par touches, par coups de bombe, pouvoir compter le nombre de déplacements des échelles, le nombre de corrections effectués par artiste. Voir des techniques différentes, des univers s’imbriquer, se compléter, se fondre les uns dans les autres. Voilà ce qui me plaît particulièrement, au delà d’être le témoin de ce genre de manifestation. J’adorerais faire plus, suivre un projet de A à Z, vous faire découvrir l’envers du décor, sillonner le monde pour découvrir et vous montrer l’impact de cette expression urbaine.
PS : Jetez un oeil à l’édition 2014 du festival La voie est libre.