En avant pour Ciloas. Aujourd’hui, nous partons en voiture avec mes parents (bientôt nous vivrons l’expérience en bus). Le chemin est sinueux pour arriver jusqu’à l’intérieur du Cirque. Plus de 400 virages, dit-on. Et plusieurs tunnels, dans lesquels il est impossible de se croiser.
Le paysage est grandiose. Le soleil rentre progressivement dans Cilaos et illumine le Taïbit. Nous arrivons en ville et nous garons vers l’Office de tourisme. Nous allons prendre des renseignements sur les horaires des bus. Il y a une carte immense de l’île avec les activités possibles ici ou là. Nous faisons un tour dans la ville, allons à la boulangerie pour acheter du pain et des brioches. Nous passons par un nouveau centre commercial destiné aux artisans.
Nous reprenons la route après le déjeuner pour aller à Ilet à cordes. Encore une fois, c’est à couper le souffle. Nous nous arrêtons sur le bord pour observer un spot de canyonning. Et effectivement, nous voyons au milieu d’une cascade un petit casque descendre en rappel. Impressionnant. Nous arrivons à l’Ilet, avec ces champs de lentilles, ces vignes. Arrêt obligatoire dans le relais bar-tabac-boutique d’un vieil homme pour goûter le « fameux » vin de Cilaos. Comment dire, sucré, liquoreux même. Fruité parfois.
Au retour, mon père me confit les clés de la voiture. Me voilà à subir le test de conduite dans Cilaos. Ma maman une fois arrivée à l’Etang Salé me dit que j’ai réussi haut la main, car à aucun moment j’ai klaxonné, j’ai même cédé la priorité à une autre voiture.
Cilaos – 11 janvier 2017
En avant pour Ciloas. Aujourd’hui, nous partons en voiture avec mes parents (bientôt nous vivrons l’expérience en bus). Le chemin est sinueux pour arriver jusqu’à l’intérieur du Cirque. Plus de 400 virages, dit-on. Et plusieurs tunnels, dans lesquels il est impossible de se croiser.
Le paysage est grandiose. Le soleil rentre progressivement dans Cilaos et illumine le Taïbit. Nous arrivons en ville et nous garons vers l’Office de tourisme. Nous allons prendre des renseignements sur les horaires des bus. Il y a une carte immense de l’île avec les activités possibles ici ou là. Nous faisons un tour dans la ville, allons à la boulangerie pour acheter du pain et des brioches. Nous passons par un nouveau centre commercial destiné aux artisans.
Nous reprenons la route après le déjeuner pour aller à Ilet à cordes. Encore une fois, c’est à couper le souffle. Nous nous arrêtons sur le bord pour observer un spot de canyonning. Et effectivement, nous voyons au milieu d’une cascade un petit casque descendre en rappel. Impressionnant. Nous arrivons à l’Ilet, avec ces champs de lentilles, ces vignes. Arrêt obligatoire dans le relais bar-tabac-boutique d’un vieil homme pour goûter le « fameux » vin de Cilaos. Comment dire, sucré, liquoreux même. Fruité parfois.
Au retour, mon père me confit les clés de la voiture. Me voilà à subir le test de conduite dans Cilaos. Ma maman une fois arrivée à l’Etang Salé me dit que j’ai réussi haut la main, car à aucun moment j’ai klaxonné, j’ai même cédé la priorité à une autre voiture.