Je me souviens de (lui). Je me souviens de ce qu’il (lui) plaisait, de ses moments de joie, de larme, de sa façon bien à (lui) de croquer la vie.
Je (lui) parle parfois.
Je parle parfois de (lui). Je me rends compte que je n’ai pas peur de le faire exister, de livrer aux autres mes maux et de raconter ce qui me relie à (lui).
Je n’étais pas (lui).
Je ne suis pas (lui), tout simplement car je peux écrire ces mots aujourd’hui et que (lui) ne peut pas les lire.
Je pense tant à (lui).
Je ne pense pas être le seul tant il avait marqué autour de (lui), sa famille, ses amis, tant il (lui) arrivait de toucher au cœur les gens.
J’ai de l’amour pour (lui).
J’en ai tant, à (lui) donner, à partager, tant qu’il (lui) sera impossible de prendre.
Je (lui) offre mes larmes.
J’en ai tant, à sortir pour (lui), tant qu’il (lui) sera impossible de voir couler.
Je vis… Et (lui)…
Je vis tous les jours que (lui) ne verra pas et je suis sûr que (lui) me dirait de les vivre intensément.
(lui)
Étiquettes : Écriture
Je me souviens de (lui).
Je me souviens de ce qu’il (lui) plaisait, de ses moments de joie, de larme, de sa façon bien à (lui) de croquer la vie.
Je (lui) parle parfois.
Je parle parfois de (lui). Je me rends compte que je n’ai pas peur de le faire exister, de livrer aux autres mes maux et de raconter ce qui me relie à (lui).
Je n’étais pas (lui).
Je ne suis pas (lui), tout simplement car je peux écrire ces mots aujourd’hui et que (lui) ne peut pas les lire.
Je pense tant à (lui).
Je ne pense pas être le seul tant il avait marqué autour de (lui), sa famille, ses amis, tant il (lui) arrivait de toucher au cœur les gens.
J’ai de l’amour pour (lui).
J’en ai tant, à (lui) donner, à partager, tant qu’il (lui) sera impossible de prendre.
Je (lui) offre mes larmes.
J’en ai tant, à sortir pour (lui), tant qu’il (lui) sera impossible de voir couler.
Je vis… Et (lui)…
Je vis tous les jours que (lui) ne verra pas et je suis sûr que (lui) me dirait de les vivre intensément.