Il y a des journées marathon, où tout semble calibrer à la minute prêt, où l’on a à peine le temps de s’asseoir, de profiter, où chaque pas est un enjeu pour être à l’heure. Il y a des journées qui annoncent un changement, une envie d’ailleurs, qui font palpiter le coeur à force de courir ici, de passer par là, de revenir au point de départ. Je crois que je viens de vivre ce type de journée. D’Aulnay-sous-Bois à Nanterre, de Nation à Blanche, du parc André Malraux au 8ème arrondissement, de la Maison d’Edition Bruno Doucey à la galerie Géraldine Zberro. Je m’en vais vous raconter cette journée.
Jeudi 3 mars. Fin d’après midi. Je file entre le travail, les préparatifs de mon voyage, la maison. Juste le temps de venir voir . Direction le 8ème arrondissement. La première fois pour moi d’ailleurs dans cette galerie. Sur murs blancs, les grands formats de Seth impressionnent. Les couleurs. Le rythme. Je retrouve avec plaisir ces personnages et son univers, comme un rêve multicolore, comme une parenthèse mystérieuse.
C’est une belle claque. Le travail est toujours aussi poétique, mystique même. Où vont ces personnages? Où sommes nous emmenés? Quelle part de lui nous raconte-t-il? Je suis content d’avoir ajouté ce passage, certes fugace, pour voir l’exposition. Seth fait partie des artistes dont j’apprécie énormément le travail et que je souhaite un jour interviewer. Même si l’exposition est finie, cet article se veut une trace, un souvenir. J’espère que vous apprécierez ce chemin dans le passé.
Mea culpa. Je ne vais pas chercher à passer des heures à me justifier mais pris dans mon roadtrip américain je n’ai pas eu le temps de faire l’article pour l’exposition de Seth à la galerie Géraldine Zberro. Et pourtant j’avais eu de la chance. J’ai eu accès à la galerie le jeudi 3 mars avant le vernissage. Personne sur mes photos, de quoi prendre sous toutes les coutures les oeuvres. Un privilège. Encore merci Géraldine.
Exposition Seth « Tribute » 1996-2016 – 3 mars 2016
Étiquettes : Géraldine Zberro, Street Art
Il y a des journées marathon, où tout semble calibrer à la minute prêt, où l’on a à peine le temps de s’asseoir, de profiter, où chaque pas est un enjeu pour être à l’heure. Il y a des journées qui annoncent un changement, une envie d’ailleurs, qui font palpiter le coeur à force de courir ici, de passer par là, de revenir au point de départ. Je crois que je viens de vivre ce type de journée. D’Aulnay-sous-Bois à Nanterre, de Nation à Blanche, du parc André Malraux au 8ème arrondissement, de la Maison d’Edition Bruno Doucey à la galerie Géraldine Zberro. Je m’en vais vous raconter cette journée.
Jeudi 3 mars. Fin d’après midi. Je file entre le travail, les préparatifs de mon voyage, la maison. Juste le temps de venir voir . Direction le 8ème arrondissement. La première fois pour moi d’ailleurs dans cette galerie. Sur murs blancs, les grands formats de Seth impressionnent. Les couleurs. Le rythme. Je retrouve avec plaisir ces personnages et son univers, comme un rêve multicolore, comme une parenthèse mystérieuse.
C’est une belle claque. Le travail est toujours aussi poétique, mystique même. Où vont ces personnages? Où sommes nous emmenés? Quelle part de lui nous raconte-t-il? Je suis content d’avoir ajouté ce passage, certes fugace, pour voir l’exposition. Seth fait partie des artistes dont j’apprécie énormément le travail et que je souhaite un jour interviewer. Même si l’exposition est finie, cet article se veut une trace, un souvenir. J’espère que vous apprécierez ce chemin dans le passé.
Mea culpa. Je ne vais pas chercher à passer des heures à me justifier mais pris dans mon roadtrip américain je n’ai pas eu le temps de faire l’article pour l’exposition de Seth à la galerie Géraldine Zberro. Et pourtant j’avais eu de la chance. J’ai eu accès à la galerie le jeudi 3 mars avant le vernissage. Personne sur mes photos, de quoi prendre sous toutes les coutures les oeuvres. Un privilège. Encore merci Géraldine.