Samedi. Jour de manif. La France se cherche un destin. En tout cas une partie aspire à mieux que ce qu’on lui propose aujourd’hui. Pour ma part ce sont des retrouvailles avec ma meilleure amie. Cela fait presque deux mois que l’on ne s’est pas vu. La météo est ambivalente et c’est l’hésitation entre prendre ou non le parapluie. Au programme de notre après-midi 2 galeries. De Bastille à Châtelet, 2 pauses, 2 univers singuliers. Je m’en vais vous conter la première : Marion Peck à la galerie Madga Danysz.
L’entrée est un peu en retrait par rapport à la rue. Nous sommes accueillis par une toile en face de la porte. La mise en scène est très percutante et donne une lecture au delà des oeuvres. Elles sont prises dans des rectangles colorés. Le travail de Marion Peck est précis, déstabilisant, comme dans une histoire pour se faire peur un soir de pleine lune, comme un bonbon interdit que l’on ne peut s’empêcher de vouloir.
Les yeux sont grands ouverts parfois, comme pour nous annoncer quelque chose. Est-ce un danger? Est-ce une joie? Les personnages sont intrigants. Les enfants perdus, emmenés. Les clowns tristes et gaies. Les portraits d’aristo chiennes. Une lecture multiple dans chaque toile. De quoi se rassurer et s’inquiéter. De quoi chercher des détails pour comprendre l’histoire qui nous est montrée. A l’étage des portraits au crayon montrent une autre facette du travail remarquable de l’artiste.
J’avais été contacté par la galerie pour venir faire un article et relayer l’exposition. J’avais expliqué ma manière de faire et avais joué franc jeu. Je viendrai voir. Je fais un article si cela me plait. Curieusement que le choix de mon amie m’emmène à voir cette exposition était plutôt drôle. Comme quoi, il fallait que cela se fasse. Exposition à voir jusqu’au 30 avril.
Exposition Marion Peck – 9 avril 2016
Étiquettes : Street Art
Samedi. Jour de manif. La France se cherche un destin. En tout cas une partie aspire à mieux que ce qu’on lui propose aujourd’hui. Pour ma part ce sont des retrouvailles avec ma meilleure amie. Cela fait presque deux mois que l’on ne s’est pas vu. La météo est ambivalente et c’est l’hésitation entre prendre ou non le parapluie. Au programme de notre après-midi 2 galeries. De Bastille à Châtelet, 2 pauses, 2 univers singuliers. Je m’en vais vous conter la première : Marion Peck à la galerie Madga Danysz.
L’entrée est un peu en retrait par rapport à la rue. Nous sommes accueillis par une toile en face de la porte. La mise en scène est très percutante et donne une lecture au delà des oeuvres. Elles sont prises dans des rectangles colorés. Le travail de Marion Peck est précis, déstabilisant, comme dans une histoire pour se faire peur un soir de pleine lune, comme un bonbon interdit que l’on ne peut s’empêcher de vouloir.
Les yeux sont grands ouverts parfois, comme pour nous annoncer quelque chose. Est-ce un danger? Est-ce une joie? Les personnages sont intrigants. Les enfants perdus, emmenés. Les clowns tristes et gaies. Les portraits d’aristo chiennes. Une lecture multiple dans chaque toile. De quoi se rassurer et s’inquiéter. De quoi chercher des détails pour comprendre l’histoire qui nous est montrée. A l’étage des portraits au crayon montrent une autre facette du travail remarquable de l’artiste.
J’avais été contacté par la galerie pour venir faire un article et relayer l’exposition. J’avais expliqué ma manière de faire et avais joué franc jeu. Je viendrai voir. Je fais un article si cela me plait. Curieusement que le choix de mon amie m’emmène à voir cette exposition était plutôt drôle. Comme quoi, il fallait que cela se fasse. Exposition à voir jusqu’au 30 avril.