Back to L’Aérosol. Je reviens. Encore et encore. Un autre jour, avec d’autres personnes qui m’accompagnent. Nous sommes allés bruncher chez une amie dans le 19eme et j’avais proposé l’idée d’aller faire un tour dans cette friche. Après nous en avoir rempli plein la panse, nous prenons la voiture pour aller du 19ème au 18ème. Allons nous trouver de la place? Affaire à suivre…
En passant devant l’entrée une longue file d’attente. Tiens. Est-ce parce qu’il n’est pas l’heure ? Pourtant nous sommes dimanche donc cela ouvre à 12h. Est-ce pour des raisons de sécurité? Ou de capacité maximale par rapport au public présent? Sûrement. Mais voila. Au delà du buzz créé autour de ce lieu, de leur attractivité, les visiteurs vont ils être en mesure de patienter autant. Le jeu va-t-il en valoir la chandelle?
Nous patientons, ce qui n’est pas simple avec une enfant. Au bout de 45 minutes, nous franchissons la porte et commençons à découvrir le lieu. A l’extérieur, sur le quai, deux murs changent de propriétaires. Des jeunes s’attaquent à celui du fond, où il y avait Lima Lima. Ils sont sur du lettrage. Au milieu, un artiste repeint le mur en jaune. Que va-t-il faire?
Mon amie achète à sa fille des bombes, une dorée et une argentée. Et avec ceci, un pochoir avec un tyrannosaure rex. Elle s’essaye donc pour la première fois au graffiti. Faisant des bonhommes, des cœurs, des dinosaures. De mon côté, je vais faire un tour sur le quai. Je retourne discuter avec l’une des personnes de Maquis-art qui gère l’entrée du musée. Elle me dit qu’elle a transmis à David le souci avec les QRcode. Il est en train de rectifier cela. Elle ajoute qu’elle s’est renseigné sur l’artiste qui a dessiné le Nelson Mandela. Il s’agit de Sunset.
Vers 18 heures nous décidons d’y aller. Histoire de ne pas tomber dans les bouchons et les tracas dans les rues de Paris. Cette petite excursion à l’aérosol m’aura permis de le découvrir sous un nouvel angle et d’alimenter ce reportage au long court.
Aérosol Part 6 – 3 septembre 2017
Étiquettes : L'Aérosol, Street Art
Back to L’Aérosol. Je reviens. Encore et encore. Un autre jour, avec d’autres personnes qui m’accompagnent. Nous sommes allés bruncher chez une amie dans le 19eme et j’avais proposé l’idée d’aller faire un tour dans cette friche. Après nous en avoir rempli plein la panse, nous prenons la voiture pour aller du 19ème au 18ème. Allons nous trouver de la place? Affaire à suivre…
En passant devant l’entrée une longue file d’attente. Tiens. Est-ce parce qu’il n’est pas l’heure ? Pourtant nous sommes dimanche donc cela ouvre à 12h. Est-ce pour des raisons de sécurité? Ou de capacité maximale par rapport au public présent? Sûrement. Mais voila. Au delà du buzz créé autour de ce lieu, de leur attractivité, les visiteurs vont ils être en mesure de patienter autant. Le jeu va-t-il en valoir la chandelle?
Nous patientons, ce qui n’est pas simple avec une enfant. Au bout de 45 minutes, nous franchissons la porte et commençons à découvrir le lieu. A l’extérieur, sur le quai, deux murs changent de propriétaires. Des jeunes s’attaquent à celui du fond, où il y avait Lima Lima. Ils sont sur du lettrage. Au milieu, un artiste repeint le mur en jaune. Que va-t-il faire?
Mon amie achète à sa fille des bombes, une dorée et une argentée. Et avec ceci, un pochoir avec un tyrannosaure rex. Elle s’essaye donc pour la première fois au graffiti. Faisant des bonhommes, des cœurs, des dinosaures. De mon côté, je vais faire un tour sur le quai. Je retourne discuter avec l’une des personnes de Maquis-art qui gère l’entrée du musée. Elle me dit qu’elle a transmis à David le souci avec les QRcode. Il est en train de rectifier cela. Elle ajoute qu’elle s’est renseigné sur l’artiste qui a dessiné le Nelson Mandela. Il s’agit de Sunset.
Vers 18 heures nous décidons d’y aller. Histoire de ne pas tomber dans les bouchons et les tracas dans les rues de Paris. Cette petite excursion à l’aérosol m’aura permis de le découvrir sous un nouvel angle et d’alimenter ce reportage au long court.