Hasard ou pas, c’était une journée de décisions, d’avancées. Je mets les choses en ordre et je crois que cela me fait du bien. Dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit. Pour moi, les temps sont durs mais il n’appartient qu’à moi d’en faire quelque chose. Voilà pourquoi je fais, je crée, je prends le RER tous les jours et je m’engage auprès des autres.
Ce matin en me levant le programme était déjà chargé. Des questions à éclaircir. Des photos à donner aux artistes par rapport au Festival Rue des arts d’Aulnay. Et parmi tout cela, une chose a titillé ma curiosité : Jace sur instagram avait mis une photo de Gouzous sur Paris dans le cadre des Lézarts de la Bièvre. Ni une, ni deux, je fonce vérifier cette info et je me mets en tête de lui proposer mes services de photographe, histoire de passer un moment avec lui et de voir des Gouzous apparaître. Bon d’accord je n’ai rien d’un photographe professionnel avec le numéro de SIRET et le matériel adéquat (même si j’aspire à avoir le plus tôt possible un bon trépied et quelques objectifs pour parfaire ma panoplie) mais je fais de mon mieux avec ce que j’ai.
Un texto envoyé. Une réponse. Rdv pris à la Butte aux Cailles dans le 13eme. 11h15 je pars de chez moi. 12h10 je suis à place d’Italie. Je fais en direction de la place de la Commune de Paris. En chemin des Gouzous. Ils sont sur des éléphants et ces derniers jouent à la corde à sauter. Puis loin, Jace et Seth font mur commun. Le passe muraille rejoint les étoiles, une fusée avec deux drôles de passagers (je vous les montrerai plus tard). Je suis au téléphone et soudain. Il est là, bombe à la main. Un ami suit la création. Je salue l’artiste et me mets en retrait, appareil à la main. Petit à petit, la scène prend forme, les personnages prennent vie. C’est pour cette magie là que j’ai envie de jouer le passeur. Non pas de dévoiler les secrets mais de dire qu’il y en a. Montrer la création, la magie, le travail, l’artiste en train de faire. Raconter ce que j’ai vécu et vous donner l’envie de le vivre à votre tour.
Des Gouzous sont apparus et vont se multiplier dans les rues du 5eme et 13eme. Jace est l’invité du Festival Lézarts de la Bièvre. Donc ouvrez les yeux et surtout soyez présent le 14 et 15 juin pour cet événement. L’année dernière c’était Seth qui s’est emparé de plusieurs murs. D’ailleurs c’est mon premier article Street art sur le site. Autre info et pas des moindres : Jace est à la galerie Mathgoth jusqu’au 28 juin 2014. Alors foncez y faire un tour !!! Vous pouvez jeter un coup d’oeil à l’expo en vous rendant sur cet article.
(ré)création de Gouzous – 28 mai 2014
Hasard ou pas, c’était une journée de décisions, d’avancées. Je mets les choses en ordre et je crois que cela me fait du bien. Dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit. Pour moi, les temps sont durs mais il n’appartient qu’à moi d’en faire quelque chose. Voilà pourquoi je fais, je crée, je prends le RER tous les jours et je m’engage auprès des autres.
Ce matin en me levant le programme était déjà chargé. Des questions à éclaircir. Des photos à donner aux artistes par rapport au Festival Rue des arts d’Aulnay. Et parmi tout cela, une chose a titillé ma curiosité : Jace sur instagram avait mis une photo de Gouzous sur Paris dans le cadre des Lézarts de la Bièvre. Ni une, ni deux, je fonce vérifier cette info et je me mets en tête de lui proposer mes services de photographe, histoire de passer un moment avec lui et de voir des Gouzous apparaître. Bon d’accord je n’ai rien d’un photographe professionnel avec le numéro de SIRET et le matériel adéquat (même si j’aspire à avoir le plus tôt possible un bon trépied et quelques objectifs pour parfaire ma panoplie) mais je fais de mon mieux avec ce que j’ai.
Un texto envoyé. Une réponse. Rdv pris à la Butte aux Cailles dans le 13eme. 11h15 je pars de chez moi. 12h10 je suis à place d’Italie. Je fais en direction de la place de la Commune de Paris. En chemin des Gouzous. Ils sont sur des éléphants et ces derniers jouent à la corde à sauter. Puis loin, Jace et Seth font mur commun. Le passe muraille rejoint les étoiles, une fusée avec deux drôles de passagers (je vous les montrerai plus tard). Je suis au téléphone et soudain. Il est là, bombe à la main. Un ami suit la création. Je salue l’artiste et me mets en retrait, appareil à la main. Petit à petit, la scène prend forme, les personnages prennent vie. C’est pour cette magie là que j’ai envie de jouer le passeur. Non pas de dévoiler les secrets mais de dire qu’il y en a. Montrer la création, la magie, le travail, l’artiste en train de faire. Raconter ce que j’ai vécu et vous donner l’envie de le vivre à votre tour.